- Quand ? Jeudi 3 juillet 2025 de 18h à 20h
- Où ? Salle George TARER – rue du Chevalier St Georges à Pointe-à-Pitre
- Renseignements : +590 590 84 95 14
- Inscription auprès de Dylis Communication
Rompre une relation n’est pas un échec. C’est parfois un cap à franchir.
Il y a des liens qu’on sent s’éteindre. D’autres qu’on ne sait plus porter.
Mais comment partir sans fuir ? Dire stop sans heurter ? Mettre fin sans briser ? Et si vous retrouviez ce qu’on perd souvent dans les conflits : le sens de votre direction intérieure ?
Caroline Alix, conférencière
Caroline Alix, avocate, médiatrice et formatrice, a accompagné des centaines de personnes à travers des situations de rupture ou de transition relationnelle. Elle partage ici sa méthode claire, accessible et éprouvée qu’elle développe aussi dans son livre « L’Art de la Paix : rompre une relation, ça s’apprend ! » et dans ses interventions dans l’émission ZCL sur CANAL 10.
Sa méthode s’appuie sur :
- La Communication Non Violente (pour exprimer sans accuser)
- Le Triangle de Karpman (pour sortir des schémas de victime ou de contrôle)
- L’Ennéagramme émotionnel (pour comprendre ce qui se joue, chez soi et chez l’autre)
- Et des outils visuels concrets pour garder une direction claire dans des situations complexes
Une approche qui a déjà aidé de nombreux couples, familles et professionnels à poser des mots justes là où les liens devenaient flous, tendus ou conflictuels.
« Je propose un accompagnement qui ne relève normalement de la compétence :
- ni de l’avocat, qui gère essentiellement les pièces du dossier, parfois exposé à des débordements émotionnels importants
- ni du psychologue, qui est astreint à une éthique d’écoute et de grande prudence au contact de l’espace intime de la personne avec le risque de faire toujours plus de quelque chose qui ne marche pas…
Dans nos pratiques nous avons été touchés par l’impuissance d’être exposés à des personnes épuisées face à un ressenti de harcèlement moral ou physique, vécu dans le secret de la maison ou au travail. Or, ce ressenti victimaire peut être désamorcé par un travail progressif sur les trois aspects du triangle dramatique de Karpman, en lien avec la communication non violente. Ces concepts combinés permettent à la personne d’accéder à un meilleur positionnement personnel dans le conflit du rapport dominant/dominé.«